Myriam Mihindou

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Myriam Mihindou

IVRESSE

27/10/2018 - 16/01/2019

[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row css= ».vc_custom_1604708420833{margin-top: 80px !important;margin-right: 10% !important;margin-left: 10% !important;} »][vc_column][vc_row_inner][vc_column_inner width= »1/2″][vc_single_image image= »4970″ img_size= »full »][/vc_column_inner][vc_column_inner width= »1/2″][vc_column_text]

En linguistique, l’étymologie consiste à chercher et à comprendre les racines d’un mot, à révéler aussi le rapport qui existe entre le son (l’énonciation) et le mot (le signifiant). Cette association a longtemps été vécue comme un trauma par Myriam Mihindou. Depuis plusieurs années, l’artiste s’est immergée dans une recherche étymologique pour «faire monter ma fleur de sel» et parvenir à identifier les choses, à dépasser les frontières, à poser des images et des représentations. Dès son enfance, elle est fascinée par les dictionnaires et les encyclopédies. Elle dévore notamment les ouvrages médicaux de sa mère alors directrice d’un hôpital. À travers la lecture et l’observation des planches anatomiques, elle découvre le corps humain dans toute sa splendeur, elle apprend à connaître les maladies et les microbes.[/vc_column_text][/vc_column_inner][/vc_row_inner][vc_row_inner][vc_column_inner][vc_column_text]

L’oeuvre de Myriam Mihindou ne connaît aucune frontière, au sens propre comme au figuré. Du saut en hauteur à l’architecture, en passant par l’école des beaux arts de Bordeaux, sa formation déploie plusieurs espaces d’expression.

—Julie Crenn
© Archives of Women Artists, Research and Exhibitions

[/vc_column_text][/vc_column_inner][/vc_row_inner][vc_row_inner css= ».vc_custom_1604709059783{margin-top: 50px !important;} »][vc_column_inner width= »2/3″][vc_gallery type= »flexslider_slide » interval= »5″ images= »4964,4963,4962,4961″ img_size= »large »][/vc_column_inner][vc_column_inner width= »1/3″][vc_column_text]La préparation de l’exposition s’est effectuée à Meisenthal, non loin de la frontière francoallemande. Au sein de ce territoire de lisières, elle réalise des oeuvres inédites. Myriam Mihindou repère le métissage des langues, les incongruités, les désamours. La langue allemande interagit avec la langue française, deux cultures font alliance par les mots. Elle relève ce qu’elle nomme «la schizophrénie de la langue» où un mot peut en cacher un autre, il contient une binarité où les significations s’allient et se contredisent.[/vc_column_text][/vc_column_inner][/vc_row_inner][vc_row_inner][vc_column_inner][vc_column_text]

La performance, comprise comme une pratique où le corps est à la fois l’outil et l’écran d’une pensée, peut être envisagée comme le fil conducteur d’une création artistique cathartique.

—Julie Crenn
© Archives of Women Artists, Research and Exhibitions

[/vc_column_text][/vc_column_inner][/vc_row_inner][/vc_column][/vc_row][vc_row css= ».vc_custom_1604763097806{padding-right: 10% !important;padding-left: 10% !important;background-color: #191919 !important;} »][vc_column][vc_video link= »https://www.youtube.com/watch?v=jJ9ful6qkp4″ align= »center » css= ».vc_custom_1604709832453{border-top-width: 2px !important;border-right-width: 2px !important;border-bottom-width: 2px !important;border-left-width: 2px !important;background-color: #828282 !important;border-left-color: #ffffff !important;border-right-color: #ffffff !important;border-top-color: #ffffff !important;border-bottom-color: #ffffff !important;border-radius: 2px !important;} »][/vc_column][/vc_row][vc_row css= ».vc_custom_1604763544648{margin-top: 50px !important;margin-right: 10% !important;margin-bottom: 100px !important;margin-left: 10% !important;} » el_id= »contact »][vc_column width= »1/3″][vc_single_image image= »4984″ img_size= »large » alignment= »center »][vc_column_text]